Cela fait presque deux années que l’affaire est en cours. La justice vient enfin de valider que les deux gendarmes du GIGN de Joué-lès-Tours qui l’avaient abattu dans le Loir-et-Cher avaient agi en légitime défense. Ce 7 février, la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Orléans a confirmé le non-lieu.
L’évadé de prison menace les gendarmes avec un couteau
Les faits s’étaient produits le 30 mars 2017. Angelo Garand, évadé de la prison Vivonne en 2016 suite à une permission, avait refusé son interpellation à Seur, dans le Loir-et-Cher. Les deux gendarmes du GIGN de Joué-lès-Tours étaient intervenus dans la ferme des parents d’Angelo Garand. L’homme s’était caché dans un coin obscur de la propriété. Malgré les sommations des gendarmes et les deux tirs de taser, il a continué à avancer, armé d’un couteau. Les gendarmes l’ont alors abattu de cinq tirs. Les deux militaires avaient été mis en examen en 2017 pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner avec usage d’une arme ». La légitime défense vient d’être validée par la cours d’appel.
3 Comments
nathalie
5 mars 2019 at 18 h 35 minbonjour, il y a une francaise qui accueille chez elle des hommes sans papiers venu de pays dans des zones de conflit elle a agressée à maintes reprise porte le vetement religieux bietrich ludivine
GIARD
8 février 2019 at 15 h 12 mindes manifs pour des racailles ,des salopards c est indécent !
GIARD
8 février 2019 at 15 h 05 minles gendarmes ont fait leur travail: ras